Vipassana est un cadeau inestimable. Après les dix jours de méditation intensive et retraite silencieuse, j'ai hâte de voir le monde, mais l'envie de passer mes journées en auto-observation devient de plus en plus forte. Jusqu'au moment où les libidineuses tentations des tissus en soie et des gourmandises au chocolat viennent détruire mon illusion. Oh douleur... - comme disait Dr. Smith.
Néanmoins, je reconnais que je ne suis que totalement heureuse, complètement heureuse, que lorsque je rencontre cet être qui m'habite. Aucune beauté, aucun désir accompli, aucun amant, aucun amour, aucune autre illusion ne pourrait me donner cette paix.
Un jour, j'ai entendu une chanson en hindi - et je ne connais aucun mot en hindi- et portant, j'ai commencé à pleurer, et je pleurais à chaque foi que je l'écoutais. C'étaient des voix d'hommes, en acapela. À moi, cette chanson parlait de l'amour fou pour l'existence. Il y avait un fort composant de douleur.
Pour cela, je m'efforce de vivre selon le Dhamma, mais il arrive des moments où la langue me picote et je deviens une vrai garce. Rien à faire, puisque je suis cet être complexe et ambivalent, une métamorphose mobile.
Interesting links: N.Y. TIMES - FILM REVIEW - 'DOING TIME, DOING VIPASSANA' Link TV - Programming - Program Details... This extraordinary documentary takes viewers into India's largest prison...
September 08, 2005
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Un peu de retenu, SVP! LOL :))